mercredi 12 février 2014

Une nouvelle façon de voir la vie


Les hippies donnent une grande importance à l’engagement politique. En effet, après la seconde guerre mondiale les enfants du baby boom créent un nouveau mode de vie qui bouleverse la société. Il se développe surtout en Amérique où le gouvernement encourage la société à participer à cette nouvelle économie libérale capitaliste qui permet un développement considérable dans la concurrence avec l’URSS. Les hippies rejettent ce concours entre les deux puissances et critiquent le libéralisme économique voulu par les États-Unis, qui transforme la société en un groupement de  mentalités matérialistes et violentes. Avec l’avance de cette société, le refus augmente, avec des “ sittings ” (assiégements) devant la Maison Blanche ou les actions de mettre des fleurs dans les armes des soldats. Au début des années 60 Kennedy déclare la guerre contre le Viêt Nam communiste et les jeunes sont pris dans l’armée. Apparaît alors un mouvement d’anti-guerre mené essentiellement par des jeunes hippies. Le gouvernement défend cette guerre comme un moyen de battre le communisme, de montrer son pouvoir économique grâce aux armes, aux soldats, aux tanks et aux nouvelles technologies. Cette guerre est très blâmée par de petits groupes partout dans le monde, et c’est en août de l’année 1969 que le festival de Woodstock permettra à de nombreux artistes de chanter comme symbole de leur refus de la guerre. Ces festivaux permettent aux différents artistes de s’exprimer à travers des chansons qui mettaient en avant leur révolte, leur refus du racisme et de la répression, comme on le voit dans la chanson  Blowin' in the wind  de Bob Dylan.





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