Sur
la route (On the Road) paru
en 1957 est le plus connu des romans de Jack Kerouac. Jack Kerouac
fut un écrivain et poète américain née en 1922 est mort en 1969.
Ses écrits reflètent cette volonté de se libérer des conventions
sociales étouffantes de son époque et de donner un sens à son
existence comme on le trouve aussi chez les hippies. Un sens qu'il a
cherché dans des drogues comme la marijuana dans l'alcool également,
dans la religion et la spiritualité (notamment le bouddhisme), et
dans une frénésie de voyages. Kerouac vante les bienfaits de
l'amour et proclame l'inutilité du conflit armé, quel qu'il soit.
Jack Kerouac et ses écrits sont vus comme précurseurs du mode de
vie de la jeunesse des années 1960, celle de la Beat Generation, qui
inspire en même temps, la jeunesse hippie. Il a aussi inspiré
directement les mouvements de mai 1968, l’opposition à la guerre
du Viêt Nam, ou le mouvement hippie de Woodstock. Pourtant la Beat
Generation a aussi contribué à enrichir le mythe américain. Sur la
route, le roman le plus connu de Kerouac, est une ode aux grands
espaces, à l’épopée vers l’ouest, à la découverte de mondes
nouveaux. Il fut l'un des romans fondateurs de ce que Kerouac nomma
lui-même la “ Beat Generation ”.
Il s’agit d’un récit qui pourrait être interprété comme autobiographique puisque l’auteur se pose comme personnage principale et s’engage dans un voyage à travers les États-Unis.
Le roman raconte l’histoire de Kerouac et ses amis qui, en 1947, vivent par et pour la drogue, au point qu’ils falsifient les ordonnances des médecins pour obtenir de la morphine. L’auteur rencontre le jeune Neal Cassady, un maniaque de la vitesse et des automobiles qui lui narre ses péripéties lors de ses déplacements à travers le pays. Fasciné, Kerouac décide de partir à l'aventure. Le 17 juillet 1947, au petit matin, il marche pendant plusieurs kilomètres. Il compte se déplacer en auto-stop. Il se perd à la limite de l'État de New York et subit une pluie violente qui l'oblige à rebrousser chemin. Cet épisode forme l'incipit de son roman Sur la route. Il rentre chez sa mère qui lui donne de l'argent pour repartir, cette fois-ci par autobus, jusqu'à Chicago. Dès lors, l'aventure commence réellement. Il traverse l’Iowa et arrive jusqu’en Mississippi. Le roman raconte de manière quasi autobiographique les aventures de l'auteur (nommé Sal Paradise dans le livre) et d'un compagnon de route, Neal Cassady (nommé Dean Moriarty dans le roman). On y croise également d’autres amis de l’auteur comme Allen Ginsberg (nommé Carlo Marx) et William Burroughs (nommé Old Bull Lee). L’auteur défend dans ce roman l’évasion comme moyen de se connaîre soi-même. Il montre,de plus, que l’expérience et les relations humaines sont capables d’humaniser et de purifier l ‘âme.
Il s’agit d’un récit qui pourrait être interprété comme autobiographique puisque l’auteur se pose comme personnage principale et s’engage dans un voyage à travers les États-Unis.
Le roman raconte l’histoire de Kerouac et ses amis qui, en 1947, vivent par et pour la drogue, au point qu’ils falsifient les ordonnances des médecins pour obtenir de la morphine. L’auteur rencontre le jeune Neal Cassady, un maniaque de la vitesse et des automobiles qui lui narre ses péripéties lors de ses déplacements à travers le pays. Fasciné, Kerouac décide de partir à l'aventure. Le 17 juillet 1947, au petit matin, il marche pendant plusieurs kilomètres. Il compte se déplacer en auto-stop. Il se perd à la limite de l'État de New York et subit une pluie violente qui l'oblige à rebrousser chemin. Cet épisode forme l'incipit de son roman Sur la route. Il rentre chez sa mère qui lui donne de l'argent pour repartir, cette fois-ci par autobus, jusqu'à Chicago. Dès lors, l'aventure commence réellement. Il traverse l’Iowa et arrive jusqu’en Mississippi. Le roman raconte de manière quasi autobiographique les aventures de l'auteur (nommé Sal Paradise dans le livre) et d'un compagnon de route, Neal Cassady (nommé Dean Moriarty dans le roman). On y croise également d’autres amis de l’auteur comme Allen Ginsberg (nommé Carlo Marx) et William Burroughs (nommé Old Bull Lee). L’auteur défend dans ce roman l’évasion comme moyen de se connaîre soi-même. Il montre,de plus, que l’expérience et les relations humaines sont capables d’humaniser et de purifier l ‘âme.
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